DUST
VIDEO 5K - DIGITAL EDITION OF 50 - 09:37
Pour DUST, Patrick Laffont a créé un espace entièrement blanc d'environ 100 mètres carrés, pour enlever toutes les références spatiales durant la prise de vue. Il travaille en collaboration avec une jeune actrice japonaise - Kyoko Takenaka - qui a écrit une partition corporelle personnelle en droite lignée de la danse Buto. Cette partition est basée sur son histoire personnelle et son expérience.
D'une manière très expressive, elle effectue sa danse qui devient un duo avec l'artiste qui filme, passant de gros plans aux plans larges. L'artiste à choisit ensuite d'étirer le film afin de densifier la lecture de la danse et de faire entrer le film en résonance avec cet espace très spécial qui n'a pas de limites ou de frontières. Les limites deviennent les limites du cadre lui-même. La partition musicale a été composée en mixant l'enregistrement de la prise de vue avec des notes de Bach (étirées elles aussi) afin de créer une atmosphère étrange en correlation avec la danse.
La vidéo originale est d'environ 3 heures à été conçue pour être présentée sous forme d’installation vidéo. Cette version de 9 "37 'a été spécialement conçu pour être regardée sur support écran.
For DUST, Patrick Laffont created a whole white space of about 100 square meters, to remove all spatial references from the shot. He works together with a young Japan actress and performer - Kyoko Takenaka - who has written a personal body partition related to the tradition of Buto dance. This partition is based on her personal story and her experience.
In a very expressive way, she performs her dance which becomes a duet with the artist who films, going from close plan to large views. The artist then chooses to stretch the time of the shooting in order to improve the reading of the dance and make a resonance with this very special space which has no limits or border. The limits become the film limits on its own. The music partition was made by the live recording mix with a Bach notes (stretched also) in order to create a very strange atmosphere.
VIDEO 5K - DIGITAL EDITION OF 50 - 09:37
Pour DUST, Patrick Laffont a créé un espace entièrement blanc d'environ 100 mètres carrés, pour enlever toutes les références spatiales durant la prise de vue. Il travaille en collaboration avec une jeune actrice japonaise - Kyoko Takenaka - qui a écrit une partition corporelle personnelle en droite lignée de la danse Buto. Cette partition est basée sur son histoire personnelle et son expérience.
D'une manière très expressive, elle effectue sa danse qui devient un duo avec l'artiste qui filme, passant de gros plans aux plans larges. L'artiste à choisit ensuite d'étirer le film afin de densifier la lecture de la danse et de faire entrer le film en résonance avec cet espace très spécial qui n'a pas de limites ou de frontières. Les limites deviennent les limites du cadre lui-même. La partition musicale a été composée en mixant l'enregistrement de la prise de vue avec des notes de Bach (étirées elles aussi) afin de créer une atmosphère étrange en correlation avec la danse.
La vidéo originale est d'environ 3 heures à été conçue pour être présentée sous forme d’installation vidéo. Cette version de 9 "37 'a été spécialement conçu pour être regardée sur support écran.
For DUST, Patrick Laffont created a whole white space of about 100 square meters, to remove all spatial references from the shot. He works together with a young Japan actress and performer - Kyoko Takenaka - who has written a personal body partition related to the tradition of Buto dance. This partition is based on her personal story and her experience.
In a very expressive way, she performs her dance which becomes a duet with the artist who films, going from close plan to large views. The artist then chooses to stretch the time of the shooting in order to improve the reading of the dance and make a resonance with this very special space which has no limits or border. The limits become the film limits on its own. The music partition was made by the live recording mix with a Bach notes (stretched also) in order to create a very strange atmosphere.